1. La politique de performance
On peut se demander s'il faut parler de "politique" de performance. Ne suffit-il pas d'être performant ? C'est que cette notion est loin d'être simple et ne s'impose ni dans sa nature ni dans sa mesure. Cet article montre que la performance dans l'organisme, si elle est définie, le sera de façon subjective, voire arbitraire, d'où la nécessité de fixer une politique.
Le coût fixe recèle une richesse souvent insoupçonnée pour éclairer les décisions d’investissements stratégiques et l’optimisation des politiques opérationnelles.
En se référant à sa nature, on peut parler de coûts de structure. Se rapporter à sa fonction conduit à la notion de coût de capacité maximale.
Le progrès continu a trouvé sa place au sein des démarches qualité dans les années 2000, mais il est consubstantiel de concepts antérieurs comme le juste à temps ou le pilotage.
Si tout le monde l’a adopté dans les démarches Qualité, cela ne veut pas dire pour autant que ce concept est bien compris dans son principe majeur et surtout maitrisé dans sa mise en œuvre.
En fait, le progrès continu est une révolution qui touche au plus profond de notre culture de gouvernance. Pour le comprendre, il faut comparer la logique du modèle traditionnel et celle du progrès continu..
Le terme est à la mode et donc souvent employé abusivement.
il convient d’en circonscrire le sens et d’en apprécier les contours et les relations avec d’autres modes de management.
le pilotage a sans doute connu ses premières applications dans la gestion de projet. Tous les qualiticiens connaissent cette quête : faire bien du premier coup.
En fait, c’est une exigence intrinsèque en gestion de projet, pour une raison simple : il n’y a pas de deuxième coup ! En fait, c’est une exigence intrinsèque en gestion de projet, pour une raison simple : il n’y a pas de deuxième coup ! En effet, ce qui caractérise le projet, c’est qu’il est unique.
Avec la généralisation du juste à temps, de l’entreprise agile et réactive, une convergence s’est opérée entre le management traditionnel, reposant sur la prévision et la standardisation, et la gestion de projet.
Nombre de fonctions d’une entreprise produisant des biens ou des services standardisés sont gérés selon les principes des la gestion de projet et sont donc pilotées.
L’objet de ce document est de mettre en lumière Les concepts novateurs d’ABC et les raisons pour lesquelles cette méthode n’a pas produit les résultats espérés afin de proposer dans la deuxième partie un prolongement avec Le management de la performance par service.
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